2eme chapitre du pourchassement d'un reve

J'ai relus ca semble passable ^^ si qqun trouuve des erreurs veullait me le signalez...
et j'ai prevus que le pere soit un stalker super stylé! Qqun pourrait dessiné =D?
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II
La découverte de “L’autre monde“

Ca y est c’est arriver ! Le jour fabuleux ou je saurai ce que contient cette boite ! Hier je n’ai pas réussi à tenir… je n’ai pas dormi. A savoir si ce rêve… non cauchemar… reviendra ou pas. On n’a pas école aujourd’hui, on est samedi, John va arriver dans 5 bonnes minutes. On est samedi, pas de devoir, pas de foot ! On sonne je cours ouvrir pour dire que je m’ennuie tout le temps chez moi. J’espérai que ce n’était pas encore l’autre fou ! Ce sera ma mère, John ou l’autre fou…
- Qui c’est ? dis-je à la porte pour ne pas espérer de me faire surprendre par un autre fou !
- Police ! Ouvrez la porte, les mains contre le mur ! Entendis-je de derrière la porte malgré les coups de matraque donnée sur la porte qui faisait un massacre Sonore
J’ouvre la porte tout doucement, en essayant de regarder par la lunette de la porte, et à ma grande surprise c’était le fou de l’autre soir. Accompagné de la police, j’étais obligé d’ouvrir la porte. J’ouvre et crie :
- Qu’est-ce qui se passe pour taper sur la porte comme ça !
- Cet homme nous a signalé un vol ici, répondit un policier en pointant le géant boutonneux de l’autre soir.
- L’homme s’appelle Brian Magister, et ce n’est pas lui c’est son père. Répliqua-t-il rapidement.
- Petit, où se trouve ton père ? ou ta mère ? disait le policier gentiment en s’abaissant à ma taille.
- Le petit d’abord il a 11 ,5 ans, et après ma mère est au travail et mon père j’en sais rien !
- Hum… soufflait Brian dans son coin
- Calme toi petit, tu connais le numéro de téléphone de ta mère ou ton père ?
Ce « petit » m’enrager surtout venant d’un policier de sa taille : il devait faire Un mètre soixante ! Enfin je me décidais à lui répondre calmement sans m’énerver :
- Mais qu’a donc volé mon père ? De plus avec le divorce de mes parents je ne l’avais pas vu depuis deux bonnes semaines, apars hier.
- Hum… si ta mère est d’accord je resterais dans la maison pour la journée pour chercher et vérifier que ton père ne vient pas ici …
- Tenez mon portable j’en ai marre de vous ! dis-je en lui tendant mon téléphone portable.
- Ta mère a accepté si un policier reste dans la maison… Hum… déclara t-il deux heures après ; en tout cas c’est sur mon forfait est fini. je repris mon portable rapidement. Le géant boutonneux commençait à sérieusement me taper sur les nerfs.
- Qui dis que moi je suis d’accord. J’attends quelqu’un à la maison, alors …
- Hum… je resterai devant la porte si je dérange
Je sentais que si il osé dire une fois encore « hum… » je lui fermerai la porte au nez. C’est ce que je fis sans même attendre un « hum ». On sonna a la porte : c’est John, ou a ma crainte, ce géant boutonneux, enfin j’ouvris la porte, c’était John :
- Dis, t’a pas encore ouvert le cadeaux ? dit-il ayant a peine franchi la porte. J’ai tout ce qu’il me faut : crayon, papier, gomme et évidemment il me manque le support…

Sans même attendre la fin de sa phrase je lui désigné un gros livre sur lequel il pourrait écrire.
- Alors tu l’ouvre quand ce cadeaux. me dit-il sur un ton impatient. Au fait c’était qui le géant noir en bas de chez toi, tu le connais ? ajouta t-il tout de suite après.
Je ne répondis pas, le laissant imaginé des histoires a voix haute. J’ouvris le cadeaux de mon père, pensant qu’il y aurait un objet spectaculaire, je l’ouvris avec grande précaution pourtant dedans je ne trouva que un papier :
A mon chère fils

Le jour de ton douzième anniversaire
Quand le rayonnement de ton cœur sera au plus bas
Ou tu aura besoins de t’échapper du monde cruel ou tu vis
Va à l’arbre du parc abandonné
Pour te soulager du malheur de ce monde
Echape toi la ou je vais

Malius Dominic Berpess
Ton papa qu t’aime
P.S. : pense à regarder au sol une fois là bas.
Mon anniversaire arrivait la semaine prochaine, je ferais mes douze ans, ça c’est compris ; mais cette phrase me gène énormément « Quand le rayonnement de ton cœur sera au plus bas. Ou tu aura besoins de t’échapper du monde cruel ou tu vis ». Ca me fait penser aux poèmes de John. Mais comme le dis mon mère, « ne songe pas au futur, regarde juste devant toi. »